Après K.O. à Tel Aviv paru en mai 2012, Asaf Hanuka reprend ses instantanés avec la même verve tantôt cynique, tendre, drôle ou poétique. On retrouve avec bonheur le citoyen désenchanté, le mari subjugué, le propriétaire dépité, l’artiste... voir plus
Après K.O. à Tel Aviv paru en mai 2012, Asaf Hanuka reprend ses instantanés avec la même verve tantôt cynique, tendre, drôle ou poétique.
On retrouve avec bonheur le citoyen désenchanté, le mari subjugué, le propriétaire dépité, l’artiste dubitatif et le père fusionnel et angoissé, bref, à la fois un personnage terriblement attachant, un regard d’une rare subtilité sur le monde et une remarquable inventivité graphique.
« La force de ses histoires courtes – qui sont, le plus souvent, comme des flashes oniriques, jaillis d’une expérience très quotidienne – est de réussir à mêler satire et fantastique. (…) Cette politesse du désespoir qui, comme on sait, s’appelle l’humour s’exprime dans des situations où les contradictions sont transcendées par le dessin. »
LIRE – Juin 2012