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"Une Farouche liberté" en sélection du Prix Relay de la BD

Publié par Editions Steinkis

« Une Farouche liberté » en sélection pour le prix relay de la BD.

Cette sélection signe l’arrivée d’un nouveau concours littéraire autour de la bande dessinée.

Les autrices :

Annick Cojean, est grand reporter au Monde, directrice et présentatrice des collections Empreintes et Duels sur France 5. En 1996, elle reçoit le Prix Albert-Londres pour un ensemble de cinq reportages consacrés aux Mémoires de la Shoah. Elle préside depuis 2010 le jury de l’association du prix Albert-Londres.

Originaire de La Rochelle, Sophie Couturier est spécialisée en communication dans la solidarité internationale, l’environnement et le documentaire. Elle s’est notamment investie au sein des ONG Action Education et Handicap International, ainsi qu’à l’IGN. Aujourd’hui directrice de la communication du Fipadoc, le festival international de documentaires de Biarritz, Sophie Couturier a milité deux années aux côtés de Gisèle Halimi à « Choisir la cause des femmes ».

Sandrine Revel vit et travaille à Bordeaux. Elle partage son temps entre la peinture, le piano et la bande dessinée. Elle est l’autrice notamment de Glenn Gould (Dargaud), pour lequel elle a reçu le Prix Artemisa en 2016 et a été nominée aux Eisner Awards (best reality based work), Pygmalion (Les Arènes), La Lesbienne invisible (Delcourt).

Myriam Lavialle est née en 1967 à Libourne. Elle suit des études d’Arts Plastiques, puis obtient un diplôme de graphisme à l’école des Beaux-Arts de Bordeaux en 1989. Après deux ans à travailler dans la publicité elle retrouve les Beaux-Arts pour y enseigner l’infographie. Parallèlement à cela, elle débute en 1999 une activité de coloriste de bandes dessinées. Ayant troqué le pinceau contre une palette graphique depuis bien longtemps, elle est spécialisée dans un travail numérique. Il lui arrive aussi, à l’occasion, de sculpter des figurines, entre autres choses.

La BD :

On ne naît pas féministe, on le devient ! L’enfance en Tunisie, le refus d’un destin assigné par son genre et son rêve de devenir avocate, la défense indéfectible des militants des indépendances tunisienne et algérienne soumis à la torture, l’association Choisir la cause des femmes, et, bien sûr, les combats pour le droit à l’avortement, la répression du viol, la parité. Gisèle Halimi, c’est tout cela et bien davantage. C’est une vie de combats, de passion et d’engagement au service de la justice et de la cause des femmes. Et jusqu’à son dernier souffle, une volonté intacte de transmettre aux nouvelles générations le flambeau de la révolte.

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